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LA SOPHROLOGIE ET LA SANTE

La sophrologie est une méthode simple et accessible à tous : adultes et enfants, patients, accompagnants et professionnels de santé…

 

C’est une pratique qui permet d’acquérir une meilleure connaissance de soi et de faire face aux aléas du quotidien avec plus de sérénité.

 

Elle permet à chacun de trouver de nouvelles ressources en soi, d'améliorer sa qualité de vie, de renforcer son équilibre physique et psychologique en étant en accord avec ses pensées, ses choix et ses actes.

La sophrologie et la santé

- Pour mieux gérer son stress et ses émotions,

- Se préparer à des examens ou traitements médicaux, une opération, une IRM...

- Se préparer à la parentalité (en complément d’une sage-femme),

- Accompagnement FIV,

- Se ressourcer, préserver sa santé, sa vitalité

- Mieux dormir

- Perdre du poids, arrêter de fumer etc...

 

La sophrologie et le cancer
 

Dans le cancer, le traitement de chimiothérapie est le plus souvent lourd, long et fatigant. Autant de situations anxiogènes et sources de stress qui peuvent être améliorées par la sophrologie.

Cancer : pourquoi penser à la sophrologie ?

La sophrologie est une méthode complémentaire à la médecine dans l'accompagnement des personnes souffrant d'un cancer. Elle fait partie des soins oncologiques de support depuis la parution du dernier plan cancer 2014 - 2019 édité par le ministère de la santé. Les techniques proposées permettent de retrouver le calme, de diminuer les peurs et offrent aux personnes l’opportunité d’agir sur eux-mêmes au moyen d’exercices simples. Elles s’appuient sur la respiration, la prise de conscience des sensations corporelles et de ses ressources ainsi que la gestion des émotions et du mental. Elle peut être une aide chez les personnes sous chimiothérapie. En effet, ces traitements s’inscrivent dans la durée et peuvent générer fatigue, anxiété, effets secondaires plus ou moins invalidants qui rythment la vie des malades au point, parfois, de monopoliser toute la place.

 

La sophrologie permet un recentrage de la personne pour revenir à "ici" et "maintenant" à travers le souffle et les sensations corporelles. C’est en prenant appui sur son corps que la personne malade va pouvoir se reconstruire en retrouvant confiance en elle-même. La finalité est de reprendre les rênes de sa vie, en faisant face à la maladie, aux traitements et de devenir autonome. Il s’agit de donner les moyens pour agir et ne pas subir.

Quand se tourner vers la sophrologie ?

 

Les demandes en sophrologie dans le cancer sont multiples :

- Mieux gérer le stress et les émotions provoquées par exemple par l'annonce du diagnostic et le déroulement des soins.

- Diminuer l’anxiété. Celle-ci peut varier selon les jours, par exemple si la séance de chimiothérapie précédente s’est mal passée, la personne peut ressentir de l’anxiété (anticipatoire) avant la séance suivante. Elle pourra même avoir de réelles nausées, similaires à celles provoquées par la chimiothérapie, alors même qu’elle ne l’aura pas encore subie.

 

- Améliorer les troubles du sommeil, fréquents. La sophrologie peut aider à lâcher prise, à tenir à distance les pensées anxiogènes et favorise la relaxation.

 

- Gérer les manifestations des effets indésirables des traitements anticancéreux (fatigue, nausées, brûlures, démangeaisons…)

 

- Accepter le traitement. Par exemple, si la nécessité d’un traitement néo-adjuvant (appliqué avant l’intervention chirurgicale) est généralement bien comprise et acceptée, en revanche, l’intérêt de la chimiothérapie, une fois l’opération réalisée peut parfois être mal vécue. Certains patients n’en voient pas toujours l’utilité ce qui ne facilite pas l’acceptation du traitement et les effets secondaires sont alors souvent majorés.

- Se préparer aux examens. Certaines personnes ont une angoisse de l’imagerie par résonance magnétique (IRM, où le lit d’examen est introduit dans tunnel assez exigu), mais aussi de la radiothérapie et ont parfois des problèmes pour rester immobiles pendant l’examen. La sophrologie va leur permettre de se mettre en situation et d’apprendre à anticiper positivement cette situation anxiogène.

- Se préparer à la fin des traitements car contrairement à ce que l'on pourrait penser, la fin des traitements est souvent une phase difficile à vivre pour la personne en rémission : mélange de joie d'avoir gagné son combat contre la maladie, de peur que la maladie revienne, de solitude car les visites médicales sont espacées, avec les proches moins présents et un retour à la vie professionnelle parfois difficile car en décalage avec ses collègues. 

 

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